mercredi 30 septembre 2020

Dictature sanitaire : c'est le gouvernement qui le dit

« Les décisions, aujourd'hui, ne sont pas prises en fonction d'une réalité qui serait celle de la circulation du virus, puisqu'on ne sait pas comment le virus se transmet. Clairement aujourd'hui, les décisions qui ont été prises, c'est pour dire : dans votre vie personnelle et de loisir, il faut continuer à être disciplinés comme vous l'êtes lorsque vous avez la pression sociale de la vie en collectivité, au au travail, dans les transports ou dans la rue, il faut que dans notre vie sociale à tous, eh bien on continue à faire attention parce que... pour éviter un deuxième confinement total » (Roxana Maracineanu, ministre des Sports, sur Europe 1 le 28 septembre 2020, à propos des fermetures de salles de sports)

Les citoyens (pour ceux qui ne s'en doutaient pas déjà) sont donc prévenus : toutes ces mesures "disciplinaires" qui tendent à faire disparaître notre humanité (visage masqué, criminalisation des deS contacts et deS rassemblements) n'ont en fait aucun rapport avec le fameux virus Sars-Cov-2 - dont on sait d'ailleurs maintenant qu'il ne provoque pas de maladie plus contagieuse ou plus dangereuse que la grippe saisonnière, et qu'il se soigne très bien lorsqu'on veut bien s'en donner les moyens.

Pourquoi tout cela alors ? Pour éviter un confinement total, nous dit-elle. Mais sans rapport avec la réalité de la circulation du virus. Le confinement total serait donc une punition pour avoir manqué de discipline, et non une mesure sanitaire.

Inutile donc de scruter les chiffres des décès (toujours désespérément bas) ou d'attendre la fin d'une "deuxième vague" qui n'a toujours pas commencé, pour espérer la fin de ce cauchemar. Le gouvernement continuera à maltraiter ses citoyens selon son bon plaisir aussi longtemps qu'il le voudra, et pour des raisons qu'il est le seul à connaître.

En tout cas, tant qu'ils se laisseront faire.

samedi 26 septembre 2020

Prier est-il un crime ?

"Ils ont voulu nous enterrer, mais ils ne savaient pas que nous étions des graines" (proverbe mexicain)

 

Prier est-il un crime ?

Pour certaines personnes qui se présentent étrangement comme chrétiens, cela semble être le cas, comme nous le montre l'histoire qui suit.

Un prêtre à la retraite, qu'on avait privé de ministère, était rentré dans son village natal. Nous étions alors en pleine période dite de "confinement" (que l'Histoire retiendra plutôt sous le nom de "Grande psychose collective de 2020", mais c'est un autre sujet).

Une petite chapelle au milieu des champs

Il y avait à proximité de ce village une chapelle, consacrée à Notre Dame, dont les fondations remontaient à la nuit des temps. On n'y avait plus célébré de messe depuis deux ans peut-être, et elle n'était plus officiellement utilisée que pour un concert annuel. Sa porte restait cependant ouverte pour tous ceux qui voulaient y prier, ou simplement la visiter.

Notre prêtre, réduit à la solitude en tête à tête avec le Seigneur, en fit sa demeure spirituelle. Il y célébra l'eucharistie et y installa le Saint Sacrement. Quand il fut de nouveau possible de se déplacer, des fidèles de son ancienne paroisse vinrent lui rendre visite régulièrement, bientôt rejoints par quelques locaux attirés par le bouche à oreille, et la chapelle devint peu à peu un lieu de prière : messes quotidiennes, chapelets, nuits d'adoration, procession de la Fête-Dieu, départ de pèlerinage... 

Les dimanches, la sortie de la messe s'accompagnait de rires d'enfants, et à l'intérieur, où résonnaient des chants joyeux ou profonds, on pouvait y prier de tout son cœur, loin de la folie du Monde. On en sortait ressourcé, le système immunitaire renforcé contre tout mal physique ou moral.

L'attaque du Kandirathon

Tout cela ne pouvait pas durer. Dans le village, quelques bien-pensants s'effarouchèrent de ce que ce lieu de patrimoine avait été transformé en lieu de culte. Ils écrivirent courageusement des lettres anonymes à la mairie pour s'en plaindre.

Du côté de la paroisse, le nouveau curé (régnant sans partage sur un empire de 17 clochers vides, et désireux de le conserver intact), décida qu'on ne pouvait tolérer aucune initiative locale et que notre prêtre devait rentrer dans le rang. A savoir : soit se mettre à disposition de la paroisse pour aller "boucher les trous" ça et là, soit rester chez lui, mais en aucun cas commettre l'outrecuidance de faire vivre un lieu de prière permanent.

Quelques naïfs tentèrent bien de faire comprendre au curé que la présence continue d'un prêtre dans un lieu de prière ouvert à tous, au carrefour de plusieurs paroisses, pouvait être bénéfique de manière générale à l'évangélisation de toute la région, mais il repoussa ces faibles arguments avec une morgue spectaculaire.

C'est qu'il existait quelque chose que notre curé craignait par dessus tout : le grand Kandirathon. Ce puissant trouble-fête se manifeste à tout moment dans les villages sous la forme de persiflages, de jalousies et de délation (le sport national du moment). La simple idée que le Kandirathon pût surgir dans sa paroisse remplissait le curé de terreur et l'incitait à prendre les mesures les plus énergiques pour s'en prémunir.

La volonté du Kandirathon supplantait donc en toute chose celle de Dieu, et par conséquent le moindre ragot justifiait d'anéantir toute manifestation de la foi chrétienne, si cela pouvait éviter des démarches fastidieuses. Il est vrai qu'il est plus facile (et moins fatigant) de persécuter cent justes que de tenir tête à un seul méchant.

Réconciliation du trône (municipal) et de l'autel

Le curé décréta donc que la chapelle n'était "pas un lieu de culte", sans préciser toutefois ce qu'il comptait en faire d'autre (baraque à frites ? discothèque ? entrepôt logistique ?). Il téléphona au maire du village avec qui il convint, entre gens raisonnables, que cette histoire de prier dans une chapelle n'était pas acceptable, et qu'on allait en finir. Les clés du bâtiment furent confisquées et la porte verrouillée.

Et ce même jour, le curé et le maire devinrent amis, comme Hérode et Pilate en leur temps, après la condamnation du Christ (Luc 23, 11-12).

En outre, le pauvre prêtre fut sommé de cesser toute eucharistie, adoration, bénédiction, chapelet, procession, pèlerinage ou apéro, sous peine d'être livré aux tribunaux ecclésiastiques. 

Trop tard, le bien était fait

Voilà certes beaucoup d'émoi pour quelques fidèles priant dans une chapelle perdue au fond de la campagne. On discerne difficilement ce que les accusateurs ont gagné dans l'affaire ; on voit davantage ce que les amis de Dieu y ont perdu.

Toutefois, on aurait tort de n'y voir qu'une histoire triste, car souvent l'Espérance est un fruit sucré qui se cueille au creux des plus amères défaites.

Or durant ces quelques semaines où l'on avait pu, presque en catimini et à l'insu des puissants, louer le Seigneur entre personnes de bonne volonté, des amitiés s'étaient créées, des liens s'étaient noués chez ceux-là qui ne se connaissaient pas auparavant, et qui avaient découvert qu'il existait d'autres cœurs sincères, d'autres brebis au milieu des loups.

Ils n'étaient plus seuls, la graine était semée, et cette petite communauté n'allait pas disparaître de sitôt.

vendredi 4 septembre 2020

Etre un Guerrier Pacifique face à la folie dangereuse du Covid

Une vidéo indispensable où un psychologue nous donne quelques techniques concrètes pour faire face à l'épidémie la plus préoccupante : celle de la peur.


 "Levez-vous, et n'ayez pas peur" (Matthieu 17, 7)

mardi 1 septembre 2020

Appel pour l’Église et pour le monde aux fidèles catholiques et aux hommes de bonne volonté

Cet appel très important, paru le 8 mai 2020 à l'initiative de plusieurs évêques, est malheureusement passé inaperçu. Il reste hélas toujours plus d'actualité, alors que des mesures de plus en plus restrictives des libertés individuelles sont prises chaque jour, contre toute logique rationnelle :


En ce temps de très grave crise, nous, pasteurs de l’Église catholique, en vertu de notre mandat, considérons comme notre devoir sacré de lancer un appel à nos confrères dans l’épiscopat, au clergé, aux religieux, au peuple de Dieu et à tous les hommes de bonne volonté. Cet appel est également signé par des intellectuels, des médecins, des avocats, des journalistes et des professionnels, qui en partagent le contenu. Il est ouvert à la signature de ceux qui voudront en partager le contenu.

Les faits ont montré que, sous prétexte de l’épidémie de Covid-19, en bien des cas les droits inaliénables des citoyens ont été violés, en limitant d’une manière disproportionnée et injustifiée leurs libertés fondamentales, y compris l’exercice de la liberté de culte, d’expression et de mouvement. La santé publique ne doit pas et ne peut pas devenir une excuse pour bafouer les droits de millions de personnes dans le monde, et encore moins pour exonérer l’autorité civile de son devoir d’agir avec sagesse pour le bien commun; cela est d’autant plus vrai que les doutes croissent quant à l’effective contagiosité, à la dangerosité et à la résistance du virus: de nombreuses voix faisant autorité dans le monde de la science et de la médecine confirment que l’alarmisme à propos du Covid-19 amplifié par les médias ne semble absolument pas justifié.

Nous avons des raisons de croire - sur la base des données officielles relatives à l’incidence de l’épidémie, et sur celle du nombre de décès - qu’il existe des pouvoirs fort intéressés à créer la panique parmi la population dans le seul but d’imposer de façon permanente des formes de limitation inacceptables de la liberté, de contrôle des personnes, de suivi de leurs mouvements. Ces formes de limitions liberticides sont un prélude inquiétant à la création d’un gouvernement mondial hors de tout contrôle.

Nous croyons aussi que dans certaines situations les mesures de confinement prises, y compris la fermeture des activités commerciales, ont conduit à une crise qui a submergé des secteurs entiers de l’économie, ce qui favorise l’ingérence des puissances étrangères, avec des répercussions sociales et politiques graves. Ces formes d’ingénierie sociale doivent être empêchées par ceux qui ont la responsabilité du gouvernement, en adoptant des mesures pour protéger les citoyens, dont ils sont les représentants et pour les intérêts desquels ils ont l’obligation de s’engager. Il est également nécessaire d’aider la famille, cellule de base de la société, en évitant de pénaliser déraisonnablement les personnes faibles et âgées par la séparation forcée et douloureuse de leurs proches. La criminalisation des relations personnelles et sociales doit également être jugée comme une partie inacceptable du projet de ceux qui favorisent l’isolement des individus afin de mieux les manipuler et les contrôler.

Nous demandons à la communauté scientifique de veiller à ce que les soins pour le Covid-19 soient promus honnêtement pour le bien commun, en évitant scrupuleusement que des intérêts iniques influencent les choix des gouvernements et des organismes internationaux. Il n’est pas raisonnable de pénaliser des remèdes qui se sont révélés efficaces, souvent peu coûteux, uniquement parce qu’on veut donner la priorité à des traitements ou des vaccins qui ne sont pas aussi fiables mais qui garantissent aux sociétés pharmaceutiques des bénéfices bien plus importants, qui pèsent sur la santé publique. Nous rappelons également, en tant que pasteurs, que pour les catholiques, il est moralement inacceptable de recevoir des vaccins dans lesquels du matériau provenant de fœtus avortés est utilisé.

Nous demandons également aux gouvernements de veiller afin d’éviter de la manière la plus rigoureuse toute forme de contrôle des personnes, à la fois par le biais de systèmes de suivi et par toute autre forme de localisation : la lutte contre le Covid-19 - aussi grave soit-il - ne doit pas être le prétexte pour approuver des projets douteux d’entités supranationales nourrissant de très forts intérêts commerciaux et politiques. En particulier, les citoyens doivent avoir la possibilité de refuser ces limitations de la liberté personnelle, sans qu’il soit imposé aucune forme de sanction à ceux qui ne veulent pas recourir aux vaccins, ni accepter des méthodes de suivi et tout autre instrument similaire. Il faut considérer également la contradiction flagrante dans laquelle se trouvent ceux qui poursuivent des politiques de réduction drastique de la population et qui se présentent en même temps comme des bienfaiteurs de l’humanité sans aucune légitimité politique ou sociale. Enfin, la responsabilité politique de ceux qui représentent le peuple ne peut absolument pas être confiée à des techniciens qui vont jusqu’à revendiquer pour eux-mêmes des formes inquiétantes d’immunité pénale.

Nous demandons instamment aux médias de s’engager activement dans une information objective qui ne pénalise pas la dissidence en recourant à des formes de censure, comme cela se produit couramment sur les réseaux sociaux, dans la presse et à la télévision. L’information correcte exige qu’un espace soit accordé aux voix qui ne sont pas alignées sur la pensée unique, permettant aux citoyens d’évaluer consciemment la réalité, sans être indûment influencés par des interventions partisanes. Une confrontation démocratique et honnête est le meilleur antidote au risque de voir imposées des formes subtiles de dictature, vraisemblablement pires que celles que notre société a vu naître et mourir dans un passé récent.

Enfin, nous rappelons, en tant que pasteurs responsables du troupeau du Christ, que l’Église revendique fermement son autonomie dans le gouvernement, dans le culte, dans la prédication. Cette autonomie et cette liberté sont un droit inhérent que le Seigneur Jésus-Christ lui a donné pour la poursuite de ses propres fins. Pour cette raison, en tant que pasteurs, nous revendiquons fermement le droit de décider de manière indépendante de la célébration de la Messe et des Sacrements, tout comme nous exigeons une autonomie absolue dans les questions qui relèvent de notre juridiction immédiate, telles que les normes liturgiques et les méthodes d’administration de la communion et des sacrements. L’État n’a pas le droit de s’ingérer, pour quelque raison que ce soit, dans la souveraineté de l’Église. La collaboration de l’autorité ecclésiastique, qui n’a jamais été refusée, ne peut impliquer de la part de l’Autorité civile des formes d’interdiction ou de limitation du culte public ou du ministère sacerdotal. Les droits de Dieu et des fidèles sont la loi suprême de l’Église à laquelle elle ne veut ni ne peut déroger. Nous demandons que les limitations à la célébration des fonctions publiques du culte soient supprimées.

Nous invitons les personnes de bonne volonté à ne pas se soustraire à leur devoir de coopérer en vue du bien commun, chacune selon son état et ses possibilités et dans l’esprit d’une sincère charité fraternelle. Cette coopération, souhaitée par l’Église, ne peut cependant être dissociée du respect de la loi naturelle, ni de la garantie des libertés des individus. Les devoirs civils auxquels les citoyens sont tenus impliquent la reconnaissance par l’État de leurs droits.

Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avec le Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en train de lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des siècles de civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelle des personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. Si tel est le plan auquel les puissants de la terre entendent nous plier, sachez que Jésus-Christ, Roi et Seigneur de l’Histoire, a promis que « les portes des Enfers ne prévaudront pas » (Mt 16, 18).

Confions à Dieu tout-puissant ceux qui gouvernent les nations, afin qu’ils les éclairent et les guident dans ces moments de grande crise. Qu’ils se souviennent que, tout comme le Seigneur jugera les Pasteurs pour le troupeau qui leur a été confié, de même Il jugera ceux qui détiennent le pouvoir et qui ont le devoir de préserver et de gouverner leurs peuples.

Prions avec foi le Seigneur pour qu’Il protège l’Église et le monde. Que la très Sainte Vierge, auxiliatrice des chrétiens, écrase la tête de l’ancien serpent, confonde et déroute les plans des enfants des ténèbres.

Parmi les premiers signataires :

Mgr. Carlo Maria Viganò, archevêque, nonce apostolique ; Cdl Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi ; Cdl Joseph Zen Ze-kiun, évêque émérite de Hong Kong ; Cdl Janis Pujats, évêque émérite de Riga ; Mgr Luigi Negri, archevêque émérite de Ferrara-Comacchio ; Mgr Thomas Peta, archevêque métropolite d’Astana ; Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire d’Astana ; Mgr Jan Pawel Lenga, archevêque émérite de Karaganda ; Mgr Rene Henry Gracida, évêque émérite de Corpus Christi; Mgr Andreas Laun, évêque auxiliaire de Salzburg ; Prof. Vittorio Sgarbi, critique d’art, essayiste ; Aldo Maria Valli, journaliste ; Magdi Cristiano Allam, écrivain ; Giulio Meotti, journaliste ; Marco Tosatti, journaliste ; Claudio Messora, directeur de Byoblu.com ; Robert Moynihan, écrivain, journaliste ; Cesare Sacchetti, journaliste ; Reynald Secher, historien ; Prof. Giorgio Nicolini, directeur de Tele Maria ; Michael J. Matt, directeur de The Remnant ; John-Henry Westen, rédacteur en chef de LifeSiteNews.com ; Vittoria Alliata di Villafranca, journaliste, écrivain ; Maria Guarini, éditeur ; Prof. Francesco Lamendola; António Carlos de Azeredo, éditeur ; Riccardo Zenobi, écrivain ; Danilo Quinto, écrivain ; Jeanne Smits, journaliste ; Olivier Figueras, journaliste ; Maître André Bonnet, avocat, fondateur de l’association Promouvoir ; Jean-Pierre Maugendre, délégué général de Renaissance Catholique ; abbé Guy Pagès ; Dr Stefano Montanari, directeur scientifique, Nanodiagnostics laboratory, Modena; Dr Antonietta Gatti, directeur de recherches, Nanodiagnostics laboratory, Modena; Prof. Alessandro Meluzzi, psychiatre ; Prof. Martino Mora, philosophe ; Prof. Massimo Viglione, historien et essayiste ; Prof. Elisabetta Sala, enseignant et écrivain ; Steven Mosher, président du Population Research Institute ; Prof. Amadeu Teixeira Fernandes, Georgetown University ; Alfonso Martone, CNR Italy.

Lien vers le communiqué original en italien : https://veritasliberabitvos.info/comunicato-stampa-di-mons-carlo-maria-vigano/