vendredi 12 novembre 2021

La vérité a pris l'escalier de service, elle est pas mal essoufflée, mais elle arrive

On dit souvent que la vérité prend l'escalier quand le mensonge prend l'ascenseur. Après deux ans de mensonges sur le corona-machin, il semble que les dernières marches soient en train d'être gravies. Coup sur coup, ces derniers jours, la presse finit par admettre ou par révéler :

1/ Que Pfizer a bidonné ses données sur son pseudo-vaccin

2/ Qu'en 2020 seules 2% des hospitalisations et 5% des admissions en réanimation étaient dues au Covid

3/ Que le soi-disant Covid long qui affecterait même des personnes jeunes était en fait psychosomatique et donc causé... par les mensonges de la presse

4/ Que les vax Covid provoquent des problèmes cardiaques

5/ Que la vaccination massive n'empêche pas les contaminations.

Ceux qui avaient les yeux ouverts savaient tout cela depuis le début, les autres pourront nous rejoindre dans la lutte pour faire cesser l'odieux "passe sanitaire" qui est la conséquence de tous ces mensonges.



jeudi 4 novembre 2021

Soutien aux Italiens


 

A l'heure où les Italiens se battent massivement contre une obligation vaccinale généralisée, et alors que le scandale du "Pfizergate" montre que les études de sécurité du pseudo-vaccin Covid ont été falsifiées, les Lyonnais vont se réunir devant le consulat d'Italie vendredi soir à 19H30, 5 rue du Commandant Faurax à Lyon 6e.

mercredi 27 octobre 2021

samedi 14 août 2021

Du fond de nos entrailles

Parmi toutes les initiatives du jour, le Clocher de Saint Romain s'est rendu à la manifestation de Lyon-Brotteaux.

Le cortège était beaucoup plus fourni que samedi dernier, et plusieurs milliers de personnes se sont élancées en direction de la place Jean Macé, sans aucun incident.

Une foule paisible et déterminée, éveillée et consciente, composée de gens ordinaires, soignants, salariés, chefs d'entreprise, parents, grand-parents, tous sortis malgré la canicule pour dire non.

Les slogans et les pancartes visaient d'abord le fameux pass sanitaire, et la marche était principalement ponctuée par le slogan "Le pass sanitaire, on n'en veut pas", ou par ce simple mot : "Liberté". "Seule la vérité rend libre", rappelait en outre une mère de famille catholique sur son maillot.

Mais soudain, au milieu de la marche, s'est fait entendre un autre son, une clameur sourde, brute, presque animale. Loin des grandes idées, de la géopolitique ou des considérations scientifiques, un cri sorti sans aucune consigne ni calcul, un avertissement sorti du fond des entrailles de ce peuple en colère, le genre de signal qui dans la nature fait comprendre à n'importe quel prédateur qu'il ferait mieux d'y réfléchir à deux fois avant d'avancer ses pattes ou son museau dans le terrier de sa proie :


TOUCHEZ PAS AUX ENFANTS !

mercredi 11 août 2021

"Depuis 60 ans, les pierres de nos églises crient"

Brillante et poignante intervention de l'archevêque Mgr Carlo Vigano à propos du motu proprio Traditionis Custodes, qui tend à interdire la messe traditionnelle.

Après avoir rappelé les bienfaits de cette messe, dont la forme parle au cœur des fidèles et leur transmet ce qui parfois ne peut pas être compris par les mots, Mgr Vigano révèle l'impact du progressisme dans l'Eglise comme dans la société civile et n'hésite pas à décrire le règne du "pape François" comme "une action constante, organisée et planifiée, qui est diamétralement opposée à l'essence de la papauté".



Au vu de l'état déplorable de l'Eglise en général et dans nos campagnes en particulier, non seulement en quantité, ce qui ne serait pas si grave, mais surtout en qualité, il serait temps d'écouter ces voix qui nous mettent en garde contre l'abandon de la tradition deux fois millénaire qui nous relie au Christ, au profit d'une idéologie mondaine qui prend les apparences de l'agneau pour dissimuler (quoique de moins en moins bien) sa nature de loup.

lundi 26 juillet 2021

Un évêque français contre le "pass sanitaire"


Monseigneur Marc Aillet, évêque de Bayonne, a publié un communiqué important à retrouver sur le site de son diocèse (cliquer ici).

Après avoir effectué de nombreuses recherches avec l'académie diocésaine pour la vie, Mgr Aillet fait part de ses inquiétudes concernant la discrimination envers les non-vaccinés, et pose d'excellentes questions auxquelles il serait bon que les autorités gouvernementales apportent quelques réponses : 


- "On nous dit que la vaccination est le seul moyen, dans la situation actuelle, de stopper l’épidémie et d’atteindre l’immunité collective. Mais qu’en est-il des traitements qui existent et qui sont efficaces ou des autres moyens de prévention préconisés pour renforcer nos défenses immunitaires naturelles ? Est-il avéré que l’hydroxychloroquine, qui a été frappée d’interdiction en France par décret, a été autorisée dans d’autres pays européens ? Qu’en est-il de l’Ivermectine dont il semble que l’efficacité soit démontrée ? Qu’en est-il de la liberté des médecins de prescrire des traitements contre la covid-19 ?"

- "Le mot « vaccin » résonne dans l’inconscient collectif comme un progrès indéniable qui a apporté de grands bienfaits à l’humanité. Que l’on pense au vaccin contre le Tétanos, pour lequel on n’a toujours pas trouvé de traitement pour éviter une mort inéluctable. L’épidémie de Covid-19 est-elle du même ordre, le risque d’en mourir est-il comparable ? Le taux de mortalité est-il particulièrement inquiétant ? Le nombre de contaminations fait-il croître de manière exponentielle le nombre de décès ? Les vaccins protègent-ils contre les « variants » ?"

- "Les vaccins mis sur le marché actuellement en France sont-ils des vaccins à proprement parler ou des « thérapies géniques » innovantes ? Pourquoi l’Agence européenne du médicament, suivie par l’Agence Nationale de sécurité du médicament en France, n’a-t-elle accordé qu’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) « conditionnelle » et pourquoi les firmes pharmaceutiques ont-elles été exemptées d’indemnisation pour leurs effets indésirables ? Si la phase expérimentale 3 ne s’achèvera pour Pfizzer par exemple qu’en octobre 2023, cela signifie-t-il qu’il faille craindre pour la sécurité du médicament à moyen ou long terme ? Des effets indésirables, voire mortels, ont-ils été recensés depuis l’utilisation de ces « vaccins » et les médecins traitants ont-ils été invités à informer leurs patients de ces risques ? Pourquoi n’invoque-t-on pas le « principe de précaution » si présent dans le discours public quand il s’agit de la protection de l’environnement ?"

- "La dernière question concerne l’utilisation avérée, au moins pour le vaccin Astrazeneka, puisqu’il n’existe aucune notice d’information sur la composition des trois autres vaccins – ce qui est pour le moins étrange –, de cellules issues de fœtus avortés (...). Si l’Eglise porte évidemment un jugement négatif sur l’utilisation de cellules issues de fœtus avortés dans l’expérimentation et la fabrication des vaccins, qu’en est-il de la coopération au mal des utilisateurs de ces vaccins ? (...)"

- "Enfin, le pass-sanitaire est présenté souvent de manière altruiste, comme nécessaire pour éviter que des non vaccinés contaminent les autres, par exemple les clients d’un restaurant ou les personnes les plus vulnérables que nous côtoyons ? Mais si ceux-ci sont vaccinés, que risquent-ils ? D’ailleurs le vaccin anti-covid protège-t-il de la contamination et de la transmission du virus ? La parole publique n’est pas claire : dans un mémoire au Conseil d’Etat du 28 mars 2021, le Ministre de la Santé affirme, arguments à la clé, qu’il y a toujours un risque pour les personnes vaccinées, mais le Premier Ministre dans son allocution du 21 juillet sur TFI, affirme sans ambages que l’on est protégé. Qui croire ? Et si le vaccin ne protège pas, pourquoi les vaccinés seraient-ils davantage admis dans certains lieux que les non-vaccinés ? A-t-on évalué les contraintes que le pass-sanitaire fera peser sur les citoyens dans la vie quotidienne ? Ne représente-t-il pas en fin de compte une obligation vaccinale déguisée ?"

- "Comment concilier les textes de loi, depuis le Code de Nuremberg, qui interdisent toute obligation vaccinale ? Si le 8 avril 2021, un arrêt de la CEDH (Cour Européenne des droit de l’homme) a autorisé la vaccination obligatoire à certaines conditions, une résolution de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, votée le 27 janvier 2021, par tous les pays de la Communauté, y compris la France, demande « de s'assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n'est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s'il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » (7.3.1) et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » (7.3.2). Qu’en penser ?"


Bref, un évêque comme on aimerait en voir plus souvent : cohérent, informé, honnête, libre et soucieux du bien commun. Que font les autres ?

vendredi 2 juillet 2021

Prescription

 


Pendant que le gouvernement "français" cherche à rendre obligatoire le pseudo-vaccin, l'Inde met fin à l'épidémie (oui, celle causée par le fameux "variant indien" alias "variant delta") en utilisant l'ivermectine.

Rappelons que les pseudo-vaccins anti-Covid sont actuellement sous le coup d'une autorisation de mise sur le marché provisoire (les essais de 3e phase n'étant pas terminé), au motif qu'il n'existerait actuellement aucun traitement, condition sine qua non pour délivrer l'autorisation. S'il existait un traitement reconnu comme efficace, les vaccins seraient légalement interdits.

Rappelons que l'ivermectine (comme l'hydroxychloroquine) ne coûte quasiment rien et ne rapporte donc quasiment rien aux laboratoires.

Rappelons que les experts et médecins qui peuplent les plateaux de télévision pour faire la promotion du pseudo-vaccin oublient toujours de mentionner les conflit d'intérêt ou les liens d'intérêt qui les lient aux laboratoires.

jeudi 17 juin 2021

26 raisons de refuser la vaccination

Je vous invite à regarder cette vidéo de la chaîne "Vivre sainement". Toutes les informations données dans cette vidéo sont sourcées et vérifiables.

26 raisons de refuser la vaccination

Où l'on apprend, entre autres, que les plus grands spécialistes de la vaccination et des virus alertent sur les dangers des vaccins Covid ; que ceux-ci contaminent les organismes avec les fameuses protéines "spike" ; qu'ils entraînent de nombreux effets secondaires systématiquement sous-évalués ; qu'ils entraînent un danger général pour l'ensemble de la population en affaiblissant les défenses immunitaires naturelles ; que les laboratoires qui les produisent sont surtout spécialisés dans les affaires de corruption et dans les scandales sanitaires ; que les vaccinations massives ont entraîné dans les pays concernés une reprise des vagues de contaminations et de décès et ont créé de nouveaux variants ; que les tests PCR sont inutiles pour détecter des virus, d'après celui qui les a inventés ; etc ad nauseam.

Aucune personne dotée d'un cerveau et d'un cœur ne devrait continuer dans cette folie après avoir pris connaissance de ces informations.

Oui, je sais, beaucoup continueront quand même.



lundi 17 mai 2021

Ton visage, ton visage, Seigneur !


Antienne d'introit Exaudi Domine du dimanche après l'Ascension :

Seigneur, écoute ma voix, avec laquelle j'ai crié vers toi, alleluia.

C'est à toi que mon cœur a dit : j'ai cherché ton visage, ton visage je le chercherai, Seigneur. Ne détourne pas ta face de moi, alleluia, alleluia !

Verset : Le Seigneur est ma lumière et mon salut, de qui aurai-je crainte?


Question subsidiaire : Ce qui précède étant la parole de Dieu, de qui viennent les paroles de ceux qui invitent à se voiler la face et à vivre dans la peur ?

mercredi 5 mai 2021

Dépasser Vatican II

Ceci est la traduction d'un article paru en anglais ici le 3 mai 2021.


Dépasser Vatican II

Comment résoudre un problème tel que Vatican II ?

Bien qu'elle ne soit peut-être pas aussi accrocheuse que le fameux air de la Mélodie du bonheur, cette question est beaucoup plus complexe que d'essayer de marier la future baronne Von Trapp. Les catholiques ont débattu du concile depuis avant même qu'il ne fût terminé en 1965. Alors qu'il avait pour but de propulser l’Église dans le monde moderne, il ne fait aucun doute que Vatican II et la question de son interprétation correcte ont été le sujet le plus clivant dans l’Église contemporaine - et le débat qui fait rage ne fait pas mine de se tasser. Pourtant, il serait peut-être temps de dépasser le concile.

Pour les catholiques libéraux, Vatican II représente la liberté ; plus précisément, la liberté vis-à-vis du passé. Au lieu d'être liée aux dogmes et aux pratiques des générations précédentes, Vatican II a donné à l’Église l'opportunité de briser ces chaînes et de bâtir une nouvelle Église pour des temps nouveaux. Depuis le rejet de l'enseignement de l’Église sur l'immoralité de la contraception artificielle, jusqu'au plaidoyer pour les femmes prêtres, les catholiques de conviction libérale sont essentiellement devenus des protestants, façonnant leurs propres croyances - quitte à être en contradiction directe avec les enseignements antérieurs de l’Église - tout cela, bien entendu, dans l' « esprit de Vatican II ».

En réponse à cette aberration post-conciliaire, beaucoup de catholiques conservateurs ont réagi en embrassant ce que le pape Benoît XVI a appelé l' « herméneutique de la continuité ». Le pape entendait par là que Vatican II devait être interprété d'une manière cohérente avec les 1960 années précédentes de la Tradition catholique (« herméneutique » n'est qu'un mot sophistiqué qui signifie « méthode d'interprétation »). En d'autres termes : ne lisez pas la Tradition à la lumière du concile ; lisez le concile à la lumière de la Tradition.

C'est là un conseil solide et catholique. Les conciles œcuméniques ne sont pas de nouvelles révélations du Ciel qui supplanteraient les révélations antérieures. Ils sont une part organique de la vie continue de l’Église, et doivent donc être traités comme une partie d'un ensemble plus vaste, pas comme une rupture dans une nouvelle direction.

Hélas, ce principe catholique tout à fait acceptable de l' « herméneutique de la continuité » (HdC) s'est transformé aujourd'hui en quelque chose de moins catholique. Au lieu d'être utilisé pour replacer Vatican II dans une perspective historique, il a fait de Vatican II exactement le « superconcile » que l'herméneutique était censée empêcher. Plus précisément, il est devenu un bâton pour battre quiconque ose critiquer le concile lui-même.

Par exemple, si un catholique suggère que, peut-être, certains passages de Vatican II sont tellement mal rédigés qu'ils peuvent conduire facilement les gens vers l'hérésie, la brigade HdC surgit pour défendre le concile : « Si on lit cela en continuité avec l'enseignement catholique, alors cela ne peut pas être compris de manière hérétique ! ». C'est peut-être vrai pour des théologiens qui connaissent toutes les nuances de la doctrine catholique, mais cela ne veut pas dire que la rédaction n'est pas médiocre et confusionnelle.

Ou bien, si un catholique relève que le concile met un accent exagéré sur les aspects positifs des autres religions, sans prendre en compte leurs défauts, la brigade HdC démolit ces critiques, en expliquant que ces déclarations doivent être contrebalancées par les enseignements antérieurs. Là encore, tout cela est bel et bon pour des intellectuels qui connaissent cette histoire en profondeur, mais le catholique moyen prend cet accent nouveau comme le signe que nous ne devrions plus mentionner les erreurs des religions non catholiques. En d'autres termes, il est parfaitement légitime de noter que Vatican II donne une vision déséquilibrée.

Pourtant, la seule pensée de critiquer le concile fait blêmir bien des catholiques fervents et orthodoxes. Comment cela pourrait-il jamais être convenable de critiquer la plus haute autorité (aux côtés du pape) dans l’Église ? Pour calmer ces inquiétudes, laissez-moi partager une citation de Joseph Ratzinger, l'homme qui devait devenir le pape Benoît XVI :

« Chaque concile valide dans l'histoire de l’Église n'a pas été un concile fructueux ; en dernière analyse, beaucoup d'entre eux ont été une perte de temps ».

Ces mots peuvent choquer les sensibilités catholiques ; ils semblent presque émaner du clavier d'un militant anticatholique numérique, pas d'un futur pape. C'est pourtant une interprétation objective de l'histoire.

Les catholiques doivent admettre que parfois les conciles réussissent, et que parfois ils échouent. Une méprise répandue parmi les catholiques est que l'Esprit Saint guide chaque aspect des conciles œcuméniques, et que, par conséquent, tous les conciles sont des succès. Ceci n'est pas l'enseignement catholique. Le Saint Esprit agit d'abord comme un protecteur - il protège le dépôt de la foi en s'assurant qu'aucun concile ne peut définitivement déclarer une hérésie comme une vérité catholique. C'est une protection négative, pas positive.

Cela dit, il est vrai que le Saint Esprit peut guider un concile (et Il le veut!), mais les pères conciliaires ont la liberté d'accepter ou de rejeter ce guide - exactement comme tous les hommes disposent de cette liberté en toutes choses.

Au début du XVIe siècle, alors que l’Église avait désespérément besoin d'une réforme, le pape Jules II convoqua le cinquième concile de Latran. Malheureusement, le concile échoua. La réforme qu'il recherchait n'a pas pris, et sept mois après la clôture du concile, Martin Luther publia ses 95 thèses, à l'origine de la réforme protestante. Cela n'a pas fait de Latran V un concile invalide ; c'était seulement un concile sans conséquences (ou une « perte de temps », comme dirait Ratzinger).

Si des conciles entiers peuvent réussir ou échouer, la même chose est vraie des documents individuels des conciles. Parfois ils sont utiles, parfois ils ne le sont pas.

Si nous refusons de reconnaître que les conciles légitimes - et les documents légitimes des conciles - peuvent échouer dans leur mission, nous agissons comme les membres d'un culte qui blanchissent et réécrivent l'histoire dans un effort pour inciter le monde à croire que l’Église n'a jamais commis de tel faux-pas. Conçu, peut-être, comme un effort bien-intentionné pour défendre la bonne renommée de l’Église, en réalité il s'agit d'une attaque contre ce don de Dieu qu'est notre raison.

Les catholiques doivent aussi admettre que tous les conciles sont ancrés dans l'époque en laquelle ils se sont tenus. Cela ne change la vérité d'aucune des déclarations dogmatiques qu'ils prononcent, mais cela nous autorise à interpréter correctement - voire, plus tard, à potentiellement rejeter - leurs conseils pratiques et leur vision du monde contemporaine, lorsqu'ils ne sont plus pertinents. Il ne fait aucun doute que la manière dont les pères conciliaires de Vatican II ont vu et interprété le monde était lourdement influencée par une vision du monde (essentiellement occidentale) des années 1960. Par exemple, rétrospectivement, une grande partie du concile semble excessivement optimiste quant au progrès du genre humain, particulièrement à la lumière de la façon dont le monde est passé à une culture nihiliste de mort et d'illusion depuis cette époque.

Plus encore, le « ton » d'un concile dépend généralement de son milieu contemporain. Les sujets sur lesquels un concile met l'accent - ou qu'il ignore - reflètent une certaine vision du monde, qui peut ne plus être appropriée pour les générations futures. Comme je l'ai mentionné précédemment, Vatican II s'est focalisé sur les éléments positifs d'autres religions, sans jamais mentionner leur erreurs. Cette décision était peut-être compréhensible, alors que le concile faisait suite à l'horrible holocauste d'un peuple d'une seule religion. Dans le monde d'aujourd'hui, cependant, quand la plupart des gens - incluant la plupart des catholiques - sont indifférents à la religion, le besoin de distinguer entre les religions est d'une importance primordiale.

Alors, comment les catholiques devraient-ils aborder Vatican II ? D'abord, pour être clair, ceci n'est pas un appel à « rejeter » Vatican II ou à le déclarer hérétique. C'est un appel à cesser d'être menottés à ce concile, à le dépasser. Trop souvent nous avons connu des débats binaires à propos de Vatican II : vous devez soit le suivre servilement (ou, plus précisément, en suivre une certaine interprétation servilement), soit le rejeter complètement. Nous avons besoin de mettre Vatican II dans la bonne perspective - aussi bien le bon que le mauvais - et arrêter de voir tout problème à travers une lentille Vatican II. Peut-être que le concile n'a pas la réponse à nos problèmes ; ou, de manière encore plus controversée, peut-être que la solution de Vatican II n'est pas la solution adaptée pour aujourd'hui.

Aussi bien les libéraux que les conservateurs catholiques ont fait de Vatican II la raison d'être du catholicisme moderne, la lentille à travers laquelle toute la foi est appréhendée. Cette pratique a transformé le concile en un albatros, enchaînant les catholiques à des idées et des pratiques inefficaces et dépassées.

Les catholiques n'ont pas besoin d'être les membres d'un culte, essayant désespérément de sauver la face en défendant chaque iota et chaque titre de Vatican II. Nous pouvons admettre que nous avons des conciles dans notre passé qui, malgré leurs bonnes intentions, n'ont pas fonctionné comme espéré, ou dont les conseils pastoraux et la vision du monde ne s'appliquent tout simplement plus à nous. Face aux (semble-t-il innombrables) problèmes d'aujourd'hui, nous devrions nous concentrer sur les points de notre Tradition qui ont fonctionné, et les embrasser de nouveau, pour le bien de l’Église et le salut des âmes.

Par Eric Sammons.

Traduction: Le Clocher de Saint Romain

dimanche 4 avril 2021

Je ne mourrai plus, mais je vivrai


La Résurrection, par le Bienheureux Fra Angelico



Dextera Domini, de César Franck, par la chorale de l'église Sainte Anne de Budapest


"Dextera Domini fecit virtutem,

Dextera Domini exaltavit me

Alleluia !

Non moriar, sed vivam,

Et narrabo opera Domini 

Alleluia !"

(Psaume 117)

(La main droite du Seigneur a déployé sa puissance, la main droite du Seigneur m'a exalté, alléluia !

Je ne mourrai plus, mais je vivrai, et je raconterai les œuvres du Seigneur, alléluia !)

lundi 29 mars 2021

Covid et mondialisme : nouvelle analyse de Mgr Viganò

Au milieu des ténèbres, une lumière ténue mais résiliente : celle de l'archevêque Carlo Vigano, qui contre vents et marée tient presque seul la barre de la lucidité et du courage au sein de l'Eglise. En date du 25 mars dernier, Mgr Vigano a publié une magnifique lettre, parfait résumé de la situation mondiale et de l'état de l'Eglise. Tout homme ou femme honnête et désireux de vivre en conscience dans ce monde devait lire en entier ce texte, que nous reproduisons donc entièrement ci-dessous, même si on peut le trouver également ici.

Voici donc le texte :


Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet «La vérité sur la peur: Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation», du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Toutes les personnes ont droit au consentement éclairé. 

Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante écloses par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les soi-disant vaccins qui sont inutiles et nocifs comme miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants pharmaceutiques – AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson – non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ils ont une longue histoire d’accusations pour avoir déjà causé de graves dommages à la population, distribuant des vaccins qui se sont révélés être à l’origine d’effets secondaires invalidants.

Les conflits d’intérêts

On sait quels conflits d’intérêts macroscopiques existent entre les laboratoires pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les salariés de ces sociétés sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’usage des médicaments, et il est difficile d’imaginer que ceux qui continuent souvent d’avoir des liens professionnels avec Big Pharma auraient la liberté de faire une évaluation juste et prudente. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin – qui a conduit certaines nations à suspendre sa distribution – n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour interdire son adoption.

Immunité pour les effets secondaires

Nous savons que, au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population, les laboratoires pharmaceutiques ont exigé une immunité totale pour les dommages pouvant survenir aux patients. Ainsi, avec les bénéfices scandaleux de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les clauses contractuelles des accords conclus par les nations et par l’Union européenne avec ces sociétés pharmaceutiques sont inaccessibles et secrètes : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée. Et nous savons que non seulement les mêmes sociétés pharmaceutiques n’assument aucune responsabilité pour les effets secondaires, mais elles déclarent également qu’elles ne garantissent même pas leur efficacité à fournir une immunité contre le virus.

L’origine chinoise du virus

On sait que le virus SRAS-CoV-2 a été selon toute probabilité produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.

Complicité du personnel de santé

Nous savons que tous les pays, à de très rares exceptions près, ont immédiatement adopté les protocoles de santé les plus absurdes de l’OMS, à commencer par la malheureuse décision de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes, et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec la complicité exécrable du personnel de santé – des médecins au personnel hospitalier – provoquant des milliers de décès non pas par COVID, comme nous le disent les médias grand public, mais par un traitement incorrect.

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

On connaît également la campagne acharnée contre l’efficacité des traitements déjà existants, de l’utilisation du plasma hyperimmun à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes de santé qui ont été imposées au cours de ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès. Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne soient pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate en traitement représentent pour les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante de s’y opposer et de les discréditer, au point d’interdire leur utilisation.

Un projet planifié depuis des années

Nous savons que pour mener cette opération criminelle – puisqu’il faut parler d’un crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple sort malheureux – il a fallu des années de planification, menées systématiquement, afin d’affaiblir les plans nationaux de pandémie, réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs, créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, et non plus des médecins, qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des sociétés pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé

On sait que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a non seulement recours au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces. A titre d’exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros de l’heure pour administrer les vaccins dans les centres de vaccination; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient vacciné; un lit en réanimation est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après la démolition de la santé publique depuis une décennie au nom de la réduction des dépenses imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles pour fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous prétexte de pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue sous forme de prêt avec des contraintes et des conditions qui, à d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service généralisé aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation de la maladie.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que les nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne avec un résultat de test positif devrait être considérée comme malade, même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux – de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis États, Canada, Australie, etc. Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, le conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques a également pu interférer avec les choix des diffuseurs et des journaux d’une part parce que BigPharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’il est présent au conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une manipulation, oserait aller contre le PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.

Responsabilité des médias sociaux

On sait qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure effrontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et journalistes, pour la seule raison qu’ils n’ont pas obéi aux diktats du récit COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui au fil du temps sont devenues les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.

Cui prodest ? – Qui en profite?

Nous savons également qui sont, en termes économiques, les principaux bénéficiaires de la pandémie : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot des entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles sont un obstacle ennuyeux à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, réparties surtout sur le Vieux Continent et notamment en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur diffusion généralisée perturbe les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui pendant la période de lock-out ont augmenté leurs profits de façon scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous achetions à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, avec le déjeuner, le toner d’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle.

Éducation

On sait que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure l’enseignement scolaire et universitaire de ce plan, aujourd’hui dispensé par «l’enseignement à distance» avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour assurer qu’un jour l’enseignement proposé via Internet puisse être unifié, en décidant quels enseignants sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’éducation alignée entraîne bientôt un nombre de plus en plus restreint d’enseignants : un seul professeur d’histoire pour tous les étudiants d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Ce n’est pas une réalité lointaine, lorsque chaque élève est obligé de se connecter en ligne et ne peut plus suivre l’enseignant de sa propre école, qui a été contraint de prendre sa retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes ou des intelligences artificielles dérangeantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.

Les promoteurs de la pandémie

On sait qui sont les théoriciens de la pandémie comme instrumentum regni , de Bill Gates à George Soros, dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant des organisations dites philanthropiques et des lobbies du pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab, l’OMS et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale, le groupe Bildeberg, le Conseil pour le Capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild sous la direction spirituelle de Bergoglio et, plus généralement, de la phalange des multinationales, des banques et des groupes de pouvoir qui appartiennent à ce dôme de conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également,

Subjugation de la hiérarchie catholique

Enfin, nous savons – et c’est certainement l’aspect le plus choquant – qu’une partie de la hiérarchie catholique est également présente dans ce plan, qui trouve en Jorge Mario Bergoglio un prédicateur obéissant du récit de la pandémie et le principal soutien des vaccins, qui n’hésite pas à les définir comme «un devoir moral», malgré les très graves préoccupations éthiques et religieuses qu’elles soulèvent. Bergoglio est même allé jusqu’à se faire interviewer par le Vaticaniste Domenico Agasso, dans une conversation contenue dans un livre intitulé Dio e il mondo che verrà, et y recommander aux masses l’administration du sérum génique et fournir une approbation officielle et malheureuse de l’idéologie du mondialisme. Et depuis mars 2020, le Saint-Siège s’est montré parfaitement aligné sur le plan mondialiste en ordonnant la fermeture des églises et la suspension de la célébration et de l’administration des sacrements. Si cela n’avait pas vraiment eu lieu, et si au contraire une forte condamnation de ce projet antihumain et antichristique s’était produite, les plus hauts niveaux de l’Église auraient eu du mal à accepter de soumettre les multitudes à des limitations absurdes de leurs libertés naturelles, au nom d’un asservissement idéologique mais évidemment aussi économique et social.

N’oublions pas qu’en contrepartie de la perte des fidèles dans les églises et de la réduction drastique des offrandes pour les conférences épiscopales qui en résulte, il doit nécessairement y avoir une forme alternative de financement qu’il ne nous faudra pas longtemps pour découvrir. Je pense que ni la Chine communiste, ni les Rothschild, ni Bill et Melinda Gates (qui, comme je l’ai appris d’une source faisant autorité, ont ouvert un compte à l’IOR, la Banque du Vatican), ni le réseau des partis démocratiques autoproclamés – la gauche internationale – obéissant à l’idéologie mondialiste, ne sont étrangers à cette opération. D’autre part, la Grande Réinitialisation envisage l’établissement d’une Religion Universelle œcuménique, écologique et malthusienne, qui voit en Bergoglio son leader naturel, comme l’a récemment reconnu la Maçonnerie. L’adoration de la pachamama au Vatican, l’accord d’Abu Dhabi, l’encyclique Fratelli tutti et le prochain sabbat d’Astana vont tous dans cette direction, complétant l’inexorable processus dissolutif de l’Église qui a commencé avec le Concile Vatican II.

Si quelque chose ne fonctionne pas, il peut être utilisé pour autre chose

Il faut reconnaître que l’apparente illogicité de ce que nous voyons se produire – le boycott des traitements préventifs, les thérapies erronées, les vaccins inefficaces, les confinements sans utilité, l’utilisation de masques absolument inutiles – prend tout son sens dès que l’on comprend que le but déclaré – vaincre la prétendue pandémie – est un mensonge, et que le véritable but est de planifier une crise économique, sociale et religieuse en utilisant une pseudo-pandémie astucieusement provoquée comme outil. Ce n’est qu’ainsi que nous pouvons comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par diverses nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction, qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des dirigeants, des médecins et des scientifiques, évêques et prêtres, journalistes et intellectuels, acteurs et influenceurs, multinationales et banquiers, fonctionnaires et spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre – ne l’oublions jamais ! – est une guerre idéologique et religieuse.

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire la transition d’un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit le bien. Cette idée détestable d ‘«égalité» qui nous a été inculquée auparavant par les libres penseurs a maintenant été utilisée pour assimiler le bien et le mal, le beau et le laid, sous prétexte de reconnaître la liberté d’expression; aujourd’hui, il sert à promouvoir le mal, l’injustice, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire la bonté, la justice et la beauté. Conformément à cette vision, l’œcuménisme aussi – qui a été initialement introduit dans l’enceinte sacrée par le Concile sous prétexte de ramener hérétiques et schismatiques – montre aujourd’hui sa charge antichristique, incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon mais proscrivant la religion catholique apostolique, car elle est la seul vrai et en tant que tel est inconciliable avec l’erreur doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et que nous ne permettons pas que l’idéologie mondialiste nous soit imposée sous toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici parce que nous sommes fidèles à un Dieu jaloux qui ne tolère pas le mélange avec les idoles et la prostitution. La tromperie de liberté, d’égalité et de fraternité propagée par la maçonnerie consiste précisément à usurper la primauté de Dieu pour la donner à Satan, avec le prétexte apparent – qui est en tout cas erroné et immoral – de placer Dieu et Satan sur le même plan, de manière à permettre une prétendue liberté de choix qui n’existe pas moralement. Mais le but final, le vrai et inavouable, est fondamentalement théologique, parce que l’auteur de la rébellion est toujours le même, celui qui est éternellement vaincu.

Nemo propheta à patria

Bien sûr, ce que nous voyons se passer aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si nous avions prêté attention à ce que les théoriciens de la Grande Réinitialisation ont déclaré en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été qualifiés de théoriciens du complot, ridiculisés ou qualifiés de fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des universités et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons à quel point les alarmes ont été clairvoyantes et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser.

Dissonance cognitive

Face à la réalité, cependant, il est difficile de comprendre la raison pour laquelle la population mondiale tout entière s’est laissée convaincre de l’existence d’un virus pandémique qui n’a pas encore été isolé et qu’elle a accepté les limitations de la liberté personnelle qui, à d’autres temps auraient conduit à la révolution et aux barricades dans les rues. Plus incompréhensible encore n’est pas tant l’absence d’une véritable réaction sociale et politique, mais l’incapacité de voir la réalité dans toutes ses preuves brutes. Mais cela est dû, on le sait, à l’action scientifique de manipulation des masses qui a inévitablement conduit au phénomène que la psychologie sociale appelle la «dissonance cognitive», c’est-à-dire la tension ou l’inconfort que nous ressentons face à deux opposés incompatibles, changement de contexte ou changement de comportement. Les gens ordinaires, incapables de comprendre ou même de reconnaître une quelconque rationalité dans ce que les médias disent de manière obsessionnelle sur le COVID, acceptent l’absurdité d’un virus grippal présenté comme étant plus dévastateur qu’ebola, car ils ne veulent pas accepter que leurs dirigeants politiques mentent sans vergogne dans le but d’obtenir la destruction sociale, économique, morale et religieuse d’un monde que quelqu’un a décidé d’annuler. Ils ne savent pas comment accepter que le mensonge puisse être fait passer pour la vérité, que les médecins ne guérissent pas et même tuent leurs patients, que les autorités civiles n’interviennent pas pour arrêter les crimes et les violations flagrantes, que les politiciens obéissent tous à un lobby sans visage, que Bergoglio veut démolir l’Église du Christ pour la remplacer par une parodie maçonnique infernale. Ainsi, de ce désir de ne pas accepter la tromperie et donc de ne pas vouloir prendre position contre elle et contre ceux qui la promeuvent, ils se réfugient dans le récit général commode, suspendant le jugement et laissant les autres leur dire quoi penser, même si cela est irrationnel et contradictoire. Des milliards de personnes se sont volontairement rendues esclaves, victimes sacrificielles du mondialiste Moloch, se laissant persuader de l’inéluctabilité d’une situation aussi surréaliste et absurde. Ou mieux encore : l’absurdité de ce que nous voyons et de ce qui nous est dit semble donner plus de force aux raisons de ceux qui, après deux cents ans de révolution au nom d’une liberté supposée, acceptent la tyrannie comme un fait normal et remontent à la potence avec la résignation de ceux qui sont convaincus, après tout, qu’ils sont coupables en quelque sorte.

Le comportement de ceux qui, au mépris de toute preuve scientifique, pensent pouvoir résoudre cette crise en déplorant l’inefficacité de la distribution des vaccins, ou remédier aux dommages du lock-out en garantissant des subventions aux entreprises et aux travailleurs, ne suscite pas moins de consternation. Bref, ils aimeraient choisir d’être exécuté par pendaison ou guillotine, sans faire d’objections à la légitimité de la peine. Et ils s’énervent immédiatement dès que quelqu’un formule des objections, les accusant de théories du complot ou de déni, proclamant qu’ils sont en faveur des vaccins et donnant des attestations de fidélité à l’idéologie dominante. Et ils ne se rendent pas compte que précisément en attribuant des subventions aux entreprises endommagées par le confinement, on légitime le revenu universel théorisé par la Grande Réinitialisation et qui est également fortement souhaité par le Vatican; ils ne se rendent pas compte qu’il ne peut y avoir de vaccin contre un virus mutant et que l’antigène qui garantirait l’immunité contre une grippe saisonnière ne peut exister tant que le virus n’a pas été isolé plutôt que simplement séquencé. Ils nous rappellent ceux qui, dans la sphère catholique, déplorent les dérives doctrinales et morales de Bergoglio, sans comprendre qu’elles sont en parfaite cohérence avec les fondements idéologiques du Concile. Ici aussi, on le voit, la rationalité s’annule pour faire place à la «dissonance cognitive» et accepter l’absurde.

L’homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas complètement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption; certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé; certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler; d’autres seront utilisés puis rejetés brutalement, et cela suscitera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler l’arrière-plan du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

Un avertissement salutaire

D’un autre côté, il y a la puissance de Dieu. Certains d’entre nous, au début, croyaient que la pandémie était réelle et, avec un esprit surnaturel, pensaient que c’était en quelque sorte un châtiment divin pour les graves péchés des individus et des nations : ils appelaient à des actes de réparation et à des prières pour demander à Dieu la fin de la peste. Face à la preuve qu’il n’y a pas de pandémie et que les décès ont été délibérément exagérés, nous devons considérer le COVID comme un fléau, non pas en soi, mais pour tout ce qu’il a révélé : le plan de Satan pour l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, qui est censé conduire au règne de l’Antéchrist. Le Seigneur nous montre, avec la sévérité d’un père, qu’il veut toujours avertir ses enfants.

La réponse des catholiques

Mais pour que les nations retournent à Dieu, leurs membres doivent déjà lui appartenir. Pour que le Christ soit Roi des nations, il doit d’abord régner dans nos âmes, nos familles et nos communautés, et il doit régner avant tout dans la sainte Église, sur ses ministres, sur le pape et sur les évêques. Tant que le Dieu vivant et vrai est indigné en étant placé aux côtés des idoles et des démons, nous ne pouvons pas espérer que la Miséricorde Divine mettra fin à ce fléau et vaincra l’ennemi.

Que cette période de préparation pour la Sainte Pâques soit pour nous tous un temps de sainteté : dans la pénitence, le jeûne et le sacrifice, nous devons venir au pied de la Croix et contempler dans la Passion de Notre Sauveur son acte de victoire sur le Mal. En faisant crucifier le Rédempteur sur le bois de la Croix, Satan a marqué sa propre défaite, qui doit encore être rendue définitive à la fin des temps mais qui est la plus certaine et inexorable.

Revenons à Dieu ! Revenons à la Foi, pure et entière, sans compromis avec la mentalité du monde. Revenons à la morale chrétienne, à la sainteté de vie et à la pureté des coutumes. Le nombre des justes retiendra la main droite du Tout-Puissant et permettra à l’Église d’affronter le Calvaire de sa persécution finale avec la même dignité avec laquelle Sa Tête l’a précédée, car la Croix est le chemin royal qui mène à la gloire de la Résurrection. La voie large et confortable est celle que nous voyons aujourd’hui et, malheureusement, nous savons très bien où elle mène. Que la puissante protection de la Très Sainte Vierge, Notre-Dame et Reine, nous assiste dans ces moments d’époque : qu’elle soit notre générale dans ce combat spirituel, aux côtés de Saint Michel Archange et de toute la cour céleste.

  • Carlo Maria Viganò, archevêque

25 mars 2021

In Annuntiatione Beatae Mariae Virginis

dimanche 21 mars 2021

De l'homme injuste et trompeur, arrache-moi

Antienne d'introït (chant d'entrée) du dimanche de la Passion (Ve dimanche de Carême) :


"Juge-moi mon Dieu, et distingue ma cause de celle du peuple non saint. De l'homme injuste et trompeur, arrache-moi ! Car tu es mon Dieu et ma force"

Antienne de communion du même jour :


"Ce corps que pour vous j'ai livré ; ce calice de la Nouvelle Alliance est en mon sang, dit le Seigneur. Vous ferez cela chaque fois que vous vous réunirez en mémoire de moi"

Nous sommes entrés dans le temps de la Passion, les deux dernières semaines de Carême, temps de pénitence particulièrement marqué. Dans les églises qui se respectent, on couvre les ornements et les statues de draps pour marquer le caractère particulier de ce temps qui nous amène au moment le plus important  de l'année. Il est temps plus que jamais de confesser nos fautes, de prier et de faire l'aumône. Se recentrer, ne pas se laisser intimider par les méchants, ne pas se laisser entraîner à la colère.

Et éviter les dangers d'un monde en perdition.




dimanche 14 mars 2021

Respiremus !

"Concede, quaesumus omnipotens Deus : ut, qui ex merito nostrae actionis affligimur, tuae gratiae consolatione respiremus" (collecte du IVe dimanche de Carême).

(Accorde-nous, Dieu tout-puissant, alors que nous méritons par notre action d'être terrassés, que nous puissions respirer par la consolation de ta grâce).

Oui, comme nous le dit la prière de l'Eglise aujourd'hui, c'est sans doute notre mérite qui nous vaut d'être aujourd'hui jetés à terre et étouffés par des mesures sans queue ni tête, et plongés peu à peu dans un monde de cauchemar : masques, confinement, couvre-feu, fermetures, vaccins expérimentaux, interdiction aux médecins de prescrire et de soigner, passeport sanitaire, caméras de surveillance, bientôt l'obligation de scanner des QR codes pour accéder à certains lieux.

Par notre lâcheté et notre paresse, nous avons laissé le monde sombrer dans la démence sénile. Un monde où l'on cesse de vivre par peur de mourir. Mais si des gens sans tête, sans cœur et sans tripes nous dirigent, c'est peut-être parce que nous en manquons nous aussi.

Difficile de voir la porte de sortie. Quand la plupart des braves gens n'ont pas encore compris, au bout d'un an de régime d'exception (et après des décennies de naufrage moral), que tout cela n'a aucun sens sinon celui d'augmenter les profits d'une poignée de financiers et d'augmenter la mainmise d'un Etat de plus en plus totalitaire sur nos vies, il semble que cela puisse durer encore quelques temps.



Nous n'étions que quelques centaines à Lyon hier pour écouter Me Carlo Brusa et la courageuse députée Mme Martine Wonner, et protester contre ceux qui étouffent nos enfants, prennent en otage la médecine et tuent la démocratie. Il est vrai que la vérité rassemble rarement les foules, actuellement en état d'hébétude complète.


Seule la grâce de Dieu est en mesure de nous sauver, si nous savons nous y abandonner en sacrifiant notre confort et notre tranquillité. 

Car contrairement aux païens ou même aux musulmans, qui croient pouvoir être sauvés par leurs œuvres, le chrétien sait qu'il peut tomber à cause de ses œuvres, mais que seule la grâce divine peut le sauver.

A propos de grâce : remercions infiniment la paroisse de Chazay d'Azergues de nous proposer, une fois par mois, une messe dans la forme extraordinaire (c'est-à-dire authentique) de la liturgie catholique, grâce à laquelle nous avons pu retrouver aujourd'hui la joie du dimanche de Laetare.


"Réjouis-toi, Jérusalem, et rassemblez-vous, tous ceux qui l'aimez ! Réjouissez-vous dans l'allégresse, vous qui étiez dans la tristesse, afin d'exulter et d'être rassasiés aux mamelles de votre consolation - Je me suis réjoui de ce qu'on m'a dit : nous irons à la maison du Seigneur"

La liturgie traditionnelle de l'Eglise fait vraiment sens, et nous parle directement à travers les siècles...

"Jérusalem, qui est édifiée comme une cité où règne le partage. c'est là en effet que sont montées les tribus, les tribus du Seigneur, pour confesser ton Nom, Seigneur !"

...En nous rappelant que si la bêtise et la méchanceté des hommes ont toujours triomphé en apparence et pour un temps, Dieu agit toujours en profondeur.






dimanche 28 février 2021

A Lyon le 13 mars pour défendre la liberté

Ci-joint une invitation à une action d'envergure contre cette dictature sanitaire.

EDIT : la manifestation n'est plus à Bellecour mais place du Maréchal Lyautet.

Retrouvons nous  à Lyon le samedi 13 mars pour un carnaval Libert'air en présence de maître Brusa, avocat de l'association Réaction 19.
Venez nombreux, nous pourrons enfin exprimer notre désaccord derrière un collectif d'association ! 



vendredi 29 janvier 2021

Jour de désobéissance civile mondiale le 1er février 2021

Nous relayons ici un appel mondial de désobéissance aux mesures liberticides et criminelles qui prennent pour prétexte le Covid :


M. Jean-Frédéric Poisson, président du parti chrétien-démocrate, nous rappelle, dans la vidéo ci-dessous, que la désobéissance civile est un droit reconnu par la constitution (à la différence de la violence et de l'insurrection), lorsque les libertés sont attaquées: liberté d'aller et venir, de réunion, de manifestation, de travailler, d'éduquer ses enfants, de culte, de prescrire (pour les médecins), le droit à la propriété privée des commerçants, d'opinion (décrets de fichage des opinions) d'expression (censure sur les réseaux sociaux, appels à la délation des enfants dont les parents auraient des propos "complotistes"), absence de contrôle du parlement sur l'exécutif, absence de transparence du gouvernement.


J'ai par ailleurs commencé à rassembler sur une page de ce blog une sélection de liens vers des articles factuels sur la dictature sanitaire, pour mieux comprendre ce qui se passe, et pour trouver des munitions argumentaires lorsque le besoin se fait sentir.




mardi 19 janvier 2021

La sacralisation du consentement

Il paraît que le président Macron voudrait revenir sur la "sacralisation du consentement" à propos du "vaccin anti Covid". Peu importe qu'il s'agisse d'un vaccin expérimental, entraînant tellement d'effets secondaires que son usage a été suspendu dans plusieurs pays, sans parler des effets à long terme inconnus (infertilité notamment), que l'épidémie soit galopante dans les pays qui ont le plus vacciné, peu importe la manière dont il a été conçu (j'y reviendrai ci-dessous) : on voudrait nous l'inoculer de force.


Le christianisme, au contraire, sacralise le consentement. Ainsi sommes-nous invités à méditer l'épisode de l'Annonciation, lorsque la Sainte Vierge Marie a prononcé son fameux Ave, ce Oui à la venue du Seigneur dans son corps, seul véritable remède pour sauver le monde.

Au contraire, le faux remède qu'on veut nous imposer a tout d'une potion démoniaque. Il est avéré que ce vaccin a été fabriqué notamment à partir de cellules de fœtus humains avortés, cellules qui ont été recueillies lorsque le foetus était encore vivant, et qui ont ensuite été placées en culture.

Le fait qu'une telle horreur soit acceptée tranquillement aussi bien par les autorités et par les corps intermédiaires que par l'essentiel de la population (sous hypnose) en dit long sur la déliquescence morale et spirituelle de ce pays et de l'occident en général.

Il faut dire que l'exemple vient de haut. Le pape François lui-même ne fait-il pas la promotion de ce vaccin du diable ?


...Mais que peut-on attendre d'un pape qui tient ses audiences dans une salle pareille ?




Pour tout comprendre sur le vaccin, mieux vaut aller retrouver l'humanité chrétienne associée à la grande compétence de Mme Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste de l'ARN, dont la nouvelle intervention sur TV Libertés a été censurée sur Youtube mais reste disponible ici pour le moment.