Respirer est-il un crime ?

Prier est-il un crime, nous demandions-nous en septembre dernier quand la mairie et la paroisse s'unissaient pour brimer les derniers croyants sincères de Saint Romain. L’État républicain de l'Absurdistan nous a apporté depuis la réponse. Après avoir interdit les messes pendant deux semaines, voilà qu'on nous limite à 30 personnes par assemblée. 

Les mêmes qui nous serinent à longueur de journée que les églises sont vides semblent maintenant avoir peur qu'elles ne soient trop pleines !

Les évêques et les prêtres courageux (il en reste), ont annoncé qu'ils ne trieraient pas les fidèles qui se présenteront dans les églises, et qu'ils ne respecteraient donc pas cette mesure inique et anti chrétienne. Tel n'est évidemment pas le cas du curé de Tarare, qui demande à ses derniers fidèles de s'inscrire au préalable pour respecter la jauge républicaine. On ne sait pas si la liste sera transmise à la police. Qu'il ne s'inquiète pas à mon sujet, je n'ai pas l'intention d'aller encombrer ses travées.

Le prétendu pape François, pendant ce temps, sort un livre dans lequel il s'attaque violemment aux "anti masques" qualifiés d'égoïstes incapables de compassion envers leur prochain. Ce sinistre personnage, élu dans des conditions douteuses à l'occasion de la démission du pape légitime (toujours en vie), s'affirme désormais sans aucune retenue comme l'auxiliaire zélé du totalitarisme mondialiste.

Ce n'est certes pas une surprise. Depuis sa prise de pouvoir, celui qui charme les médias et les bobos avec son écologisme frelaté et sa moraline dégoulinante (fort éloignée de la charité du Christ ; tout à fait opposée à elle, en fait), n'a eu de cesse de promouvoir la destruction des peuples par l'acceptation d'une immigration incontrôlée, la dissolution de la famille, l'instauration d'un gouvernement mondial, la perversion de la doctrine catholique, remplacée par le culte réchauffiste de Pachamama.

 

Aujourd'hui, alors que notre humanité est attaquée comme jamais, par ce "covidisme" qui veut nous imposer de masquer nos visages, de cesser de nous rassembler et de vivre normalement, alors que nos enfants sont maltraités, que nos commerçants sont poussés à la ruine, ce sont les défenseurs de la liberté qui sont poignardés dans le dos par ce triste sire, qui s'affirme aussi clairement que possible comme l'Antechrist dont parlaient les Écritures.

 

Pendant ce temps, un homme se fait tabasser par la police française parce qu'il ne portait pas de masque. Recevra-t-il la compassion de François Zéro ? Rien n'est moins sûr.